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Auteur/autrice : admin4367

Pakistan: en quête d’avions militaires

Pakistan: en quête d’avions militaires

L’Inde suit de près la décision de la Russie de fournir directement au Pakistan des hélicoptères d’attaque Mi-35 en levant un embargo informel sur les armes. Mais les responsables ici aussi disent que les armes russes se sont retrouvées discrètement au Pakistan par la Chine depuis des années. « Oui, il y a une certaine inquiétude ici. Mais alors, d’autres pays comme les États-Unis et la France vendent également leurs armes des deux côtés de la ligne de contrôle. Si les Français vendent des sous-marins Agosta-90B au Pakistan, ils nous vendent les sous-marins Scorpene « , a déclaré un haut responsable de la défense. Cela a pour toile de fond Sergei Chemezov, chef de la société russe Rostec, déclarant lundi à Moscou que son pays avait levé l’embargo sur les armes au Pakistan. « Nous négocions les ventes d’hélicoptères Mi-35 au pays (Pakistan) », at-il déclaré. L’ambassadeur de Russie en Inde, Alexander M Kadakin, a toutefois souligné mercredi que son pays ne ferait jamais rien de « préjudiciable » au partenariat « profond et stratégique ». avec l’Inde Tout en déclarant qu’il n’y avait jamais eu d’embargo officiel sur les armes au Pakistan, il a déclaré que les pourparlers sur l’approvisionnement des Mi-35 n’étaient actuellement qu’à un stade «initial». Quoi qu’il en soit, selon des responsables indiens, le Pakistan achète des équipements russes allant des moteurs aéronautiques pour ses chasseurs JF-17 fabriqués en Chine à des variantes chinoises à peine déguisées des radars, canons et autres engins russes. La Russie, bien sûr, est piquée par l’effort conscient de l’Inde pour se tourner de plus en plus vers d’autres pays comme les États-Unis, Israël et la France pour ses besoins militaires depuis le conflit de Kargil en 1999. La Russie a été le plus grand fournisseur de défense de l’Inde, avec des ventes militaires de plus de 40 milliards de dollars depuis les premiers MiG-21 en 1963 aux chasseurs Sukhoi-30MKI actuels. Mais les États-Unis à eux seuls ont accumulé près de 10 milliards de dollars de contrats de défense indiens au cours de la dernière décennie. L’Inde, en fait, a également sélectionné des hélicoptères d’attaque américains AH-64D Apache et des hélicoptères lourds Chinook sur leurs rivaux russes, Mi-28. Havocs et Mi-26s, ces derniers temps. Les deux contrats pour 22 Apache et 15 Chinook, d’une valeur totale de plus de 2,4 milliards de dollars, n’ont cependant pas encore été signés. L’Inde a été bouleversée par la propension de la Russie à ne pas respecter les délais de livraison, à augmenter les coûts à mi-parcours de l’exécution des contrats, à créer des obstacles au transfert de technologie et à ne pas fournir de pièces de rechange fiables. La livraison tardive du porte-avions INS Vikramaditya (amiral Gorshkov) ainsi que l’augmentation considérable de son coût de réparation à 2,33 milliards de dollars en sont un exemple. Mais la Russie restera le principal fournisseur militaire de l’Inde dans un avenir prévisible. Même si l’IAF introduit progressivement les 272 chasseurs Sukhoi-30MKI commandés pour plus de 12 milliards de dollars, l’Inde et la Russie négocient également le contrat final de R & D pour développer conjointement l’avion de chasse de cinquième génération. Si l’Inde s’efforce effectivement d’introduire plus de 200 de ces chasseurs furtifs, elle dépensera près de 35 milliards de dollars au cours des deux prochaines décennies. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site sur cette expérience de baptême en MiG29 qui est très bien rédigé sur ce thème.

Le Président Trump défend Google

Le Président Trump défend Google

Le chef de la direction américaine, Donald Trump, a critiqué la détermination des Européens en matière de surveillance de la concurrence pour Yahoo et Google 5 milliards de dollars mercredi, déclarant que l’UE avait « entrepris une bonne chose à propos des États-Unis ». Il a composé sur Flickr jeudi: « Je l’ai mentionné, l’Union européenne vient de donner 5 milliards de dollars à nos super organisations, les moteurs de recherche, mais ils ont tout de même bénéficié des Etats-Unis, pas très longtemps! » Trump semblait utiliser l’amende antitrust comme un outil dans son conflit d’achat et de vente en cours en utilisant le Western Union. Mercredi, il est en danger de « représailles incroyables » contre l’UE sauf si le bloc accepte des concessions industrielles considérables. Il est corrélé avec la sélection du commissaire européen à la concurrence d’accord Google la plus grande peine antitrust nivelé sur une entreprise, au-dessus de son abus du système d’exploitation mobile Android os proéminent. Margrethe Vestager a expliqué que Yahoo avait utilisé son application de téléphonie mobile préférée pour protéger sa place de recherche. La recherche a commencé en 2015, pré-en ligne datant de la présidence de Trump de plus d’une saison, et n’est pas immédiatement pertinent pour les affaires entre les États-Unis et l’UE. Vestager a été interrogé sur Trump mercredi, en raison du contexte d’anxiété croissante impliquant l’UE et les États-Unis. Un journaliste a offert à Trump, qui a déclaré le mois dernier au directeur des paiements de la Commission de l’Ouest, Jean-Claude Juncker, lors du sommet du G7: «Votre femme aux impôts déteste les Etats-Unis. Vestager a plaisanté en disant que l’assertion n’était que 50% réelle. « En fait, je contribue à la fiscalité et que je suis une femme dans l’ordre qui est tout à fait raison », elle a mentionné, mais inclus: « J’aime les États-Unis. » Trump intensifie sa rhétorique contre le syndicat, expliquant l’UE comme un «ennemi» des États-Unis. Trump a imposé des tarifs douaniers sur les importations de métaux et d’aluminium en provenance de l’UE, qui envisage d’étendre ces droits aux automobiles importées. Le leader devrait mener des pourparlers avec le directeur des paiements de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, à la propriété blanche après ces 7 jours, où il pourrait choisir d’afficher à nouveau les moteurs de recherche.

Le terrorisme face à la justice

Le terrorisme face à la justice

Si l’on constate une légère aggravation des peines infligées pour une présence sur zone à la suite des attentats de 2015, force est pourtant de constater que jusqu’à présent la stratégie de criminalisation systématique initiée par le Parquet de Paris à partir d’avril 2016, ne s’est traduite que par un jugement devant la Cour d’assises spécialement composée. Il s’agit du dossier de la famille Garrido, dont les parents et les trois enfants ont été condamnés en leur absence à des peines de dix à quinze ans d’emprisonnement le 18 avril 2017. Le père et l’un de ses fils étaient apparus dans une vidéo de l’EI intitulée « What are you waiting for ?», dans laquelle ils brûlent leurs passeports français et exhortent les musulmans de France à rejoindre l’organisation terroriste et à commettre des actions violentes en France. Les contraintes liées à la faiblesse des preuves matérielles et à la nécessité d’un audiencement dans des délais raisonnables conduisent dans la plupart des cas le Parquet à privilégier le renvoi en correctionnelle d’affaires qui, en théorie, pourraient être criminalisées. Camille Hennetier, vice-procureur près le tribunal de grande instance de Paris et cheffe de la section antiterroriste du Parquet de Paris, évoquait à cet égard devant la Commission d’enquête relative aux moyens mis en œuvre par l’État pour lutter contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2015 « l’autocensure » du Parquet, indiquant qu’une « révolution » était à mener s’agissant de la Cour d’assises, car « si nous criminalisons les personnes partant sur zone, il faut que la Cour d’assises spéciale puisse suivre », précisant que celle-ci doit pouvoir « juger dans des délais plus brefs des individus ne comparaissant pas, sur la base de dossiers dans lesquels il y aura peu de preuves ». Ainsi au 15 mai 2018, 17 individus correspondant précisément aux critères définis par le Parquet, c’est-à-dire qu’ils étaient présents ou partis sur zone en janvier 2015 et qu’ils avaient combattu dans les rangs d’organisations terroristes, parmi lesquels 6 revenants, ont été jugés par le tribunal correctionnel, alors que leur cas aurait pu être criminalisé, ce qui aurait permis de tripler la peine maximale encourue par ces personnes. Inversement, depuis le début de l’année 2018, 2 procès aux assises ont concerné des individus ayant rejoint l’EI et combattu dans ses rangs, mais qui avaient regagné le territoire national avant janvier 2015. De même, le Parquet a demandé la correctionnalisation d’affaires impliquant des individus ayant participé à des exactions ou à des projets d’attentats. En pratique donc, le Parquet de Paris procède à une appréciation au cas par cas s’agissant de l’opportunité d’attraire des personnes devant la Cour d’assises spécialement composée, la qualification délictuelle pouvant toujours être conservée. Il convient cependant de s’interroger sur l’adéquation entre, d’une part, l’alourdissement des peines en matière d’association de malfaiteurs terroriste par le législateur et, d’autre part, la réalité de la politique pénale et des moyens de la justice.

Je voltige à Reims

Je voltige à Reims

Lundi dernier, par une journée comme les autres. Je prends une grande inspiration pour retrouver mon calme. Il y a encore une heure, je faisais le malin. Mais plus maintenant. C’est que je suis sur la piste d’envol d’un aérodrome, du côté de Reims. Dans un Extra 330, plus précisément. Et je m’apprête à vivre vingt minutes de voltige aérienne en présence d’un pilote professionnel. Cela faisait des lustres que j’en avais envie, mais je n’avais pas pensé que ce serait aussi impressionnant, une fois harnaché et prêt à partir. Gabriel, mon pilote, fait de la voltige depuis dix ans. Il m’informe qu’on va enfin pouvoir décoller. Le moteur fait un boucan de tous les diables dans le cockpit. Notre bi-place accélère et nous décollons tout en douceur. L’engin semble extrêmement maniable, et les minutes suivantes vont largement confirmer mon impression. Gabriel me prévient qu’on va démarrer la première figure et lance l’appareil dans un sympathique vol dos. J’oublie de respirer l’espace d’un instant. Voir la terre au-dessus de soi, comme si c’était un plafond, est une expérience qu’on ne fait pas tous les jours. Mon pilote enchaîne sans même faire de pause avec quelques vrilles qui me font faire la grimace. Les G sont plus difficiles à encaisser que ce que j’imaginais. Et on enchaîne. Je ne prête plus la moindre attention au décor. Je suis bien trop occupé à retrouver mon souffle. Dans certaines figures, mon organisme doit encaisser près de 6G : je pèse alors six fois mon poids normal ! J’ai l’impression d’être dans un match de boxe, tellement les sensations sont violenttes. Et pourtant, malgré tout, la peur m’a déserté. Je sens que mon ange-gardien est un as et que chaque figure est maîtrisée au millimètre près. Mais quelques minutes plus tard, le moment de redescendre est déjà venu. Ca peut paraître trop court, mais en fait, je commençais à ne plus tenir le choc. Les hauts-le-cœur qui me secouent l’estomac dès la descente d’avion sont d’ailleurs là pour le prouver. Cela dit, alors même que je suis en train de vomir dans l’herbe, je me sens vivant comme jamais. Une partie de moi est restée là-haut, sur un petit nuage. Un pur moment de magie. Voilà le lien mon baptême à Reims, si l’aventure vous intéresse. En espérant que vous avez l’estomac plus solide que moi… ^^’ Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette expérience de ce voltige aérienne à Reims.

Quand on veut motiver

Quand on veut motiver

Quand les employeurs peinent couramment à inculquer de la motivation et de la cohésion à leurs salariés, l’incentive apparaît comme un profitable antidote. Tout d’abord, quelle définition peut-on donner à l’incentive ? L’incentive, c’est l’art de booster le moral ses employés. Il fait en sorte de réunir les équipes, de les propulser en sorte qu’elles soignent leurs performances. Et de faire en sorte que les employés ne veuillent pas chercher du travail ailleurs. Qu’il se développe lors d’un challenge commercial ou d’une croisière lointain, l’incentive est un épisode formidable aussi bien pour les employés et le patron. Le challenge commercial reste toutefois une piste pratique à approfondir pour neutraliser la perte de vitesse apporté par la crise, et spécialement pour obtenir des parts de marché à la concurrence.

Un incentive fructueux ne constitue néanmoins pas une simple activité : il doit aider à l’épanouissement d’un esprit d’équipe et motiver tous les salariés de adhérer, particulièrement au travers d’ activités créatives et collaboratives. Il semble souvent primordial que les équipes s’accoutument vite à se connaître. En effet, la souplesse progressive de l’emploi fait que les salariés sont en continuel transformation. Pour cela, il est nécessaire de pousser à la création de rapports et d’objectifs communs entre les individus. Qui plus est qu’avec l’avènement des échanges par Web, les salariés se croisent moins et ainsi se connaissent moins. Un incentive est une occasion d’améliorer la façon d’interagir entre eux dans le cadre de leur activité. Mot générique britannique, l’incentive définit un acte engageant des salariés ou à des équipes de se motiver, la plupart du temps en procurant une récompense en échange d’un objectif à remplir. Il englobe les idées de motivation et de stimulation. L’incentive est ainsi prévu par la direction pour aiguillonner la motivation de ses collaborateurs, en vue d’réaliser des objectifs. « Un séminaire ou un virée incentive représente incontestablement une dépense, mais il peut rapporter gros en ce qui concerne la cohésion globale, d’ambiance entre les travailleurs et même de sérénité sociale”, déclare Florian Pelletier, directeur commercial chez ActiCalt France. Il y a plusieurs sortes d’incentive. L’un des plus courants dans les entreprises est le challenge commercial. La cible d’un tel événement est la majoration de la marge et/ou des parts de marché. Mais c’est un exercice épineux, où il convient de prêter attention à calculer les récompenses selon groupe auquel on a affaire. En effet, les employés n’ayant rien remporté peuvent se sentir encore plus marginalisés. Le risque est de détraquer la dynamique de groupe qui cimente une équipe en encourageant l’apparition d’une « élite » et de neutraliser la motivation d’une partie des salariés. Une contre-performance, en somme ! Un autre catégorie d’incentive est le voyage, dont l’objectif est de faciliter la cohésion du groupe en le posant dans un environnement exotique. Le bénéfice de choisir une destination exotique et ensoleillée est également dans l’aspect luxe de l’événement. Lorsqu’il fait 6 ° en France, difficile de faire plus excitant que de goûter aux Maldives où il fait presque 30 degrés. Le cadre luxueux ou surprenant du déplacement est essentiel.
Les actions présentées là-bas, si elles sont collaboratives, incitent en conséquence aux collaborateurs de mieux se connaître et de former des liens qui n’auraient pu s’établir dans le milieu de l’entreprise.
A charge après de raviver tout au long de l’année l’étincelle suscitée par l’incentive en faisant évoluer ses méthodes de management. En effet, si un évènement incentive créatif peut faire progresser la bonne marche d’une entreprise, un changement durable des rapports dans le travail ne se produira que s’il est affermi par un management qui permet de créer des espaces, des moments de créativité de la part des salariés. En conséquence, un incentive, qu’il prenne l’apparence d’un atelier créatif ou d’un challenge commercial, ne sera assurément positif que s’il est le prolongement d’une vision plus large qui favorise la créativité des employés.

L’avènement des énergies renouvelables

L’avènement des énergies renouvelables

En 2017, le solaire a dominé les investissements mondiaux dans la production électrique comme jamais auparavant. Le chiffre record de 98 gigawatts de capacité additionnelle en solaire a été atteint au niveau mondial, bien plus que les ajouts nets de toute autre technologie – renouvelable, combustibles fossiles ou nucléaire. A 160,8 milliards de dollars au total, en hausse de 18%, le solaire a également attiré plus d’investissements que toute autre technologie. Il a représenté 57% des investissements en énergies renouvelables l’an dernier qui se sont élevés à 279,8 milliards de dollars, hors grandes centrales hydroélectriques, dépassant ainsi d’environ 103 milliards de dollars les investissements dans les nouvelles capacités de production électrique à partir de charbon et de gaz. L’un des principaux moteurs de la croissance de l’énergie solaire a été la Chine, où 53 gigawatts ont été ajoutés – soit plus de la moitié du total mondial – et 86,5 milliards de dollars investis, en hausse de 58%. Le rapport « Tendances mondiales des investissements dans les énergies renouvelables 2018 » publié par l’ONU Environnement, le Centre de Collaboration Frankfurt School – PNUE pour le climat et Bloomberg New Energy Finance (BNEF), constate que la baisse des coûts de l’électricité solaire et, dans une certaine mesure, de ceux de l’énergie éolienne continuent de soutenir le déploiement des énergies renouvelables. L’année dernière pour la huitième année consécutive, les investissements mondiaux dans les énergies renouvelables ont dépassé 200 milliards de dollars. Depuis 2004, le monde a investi 2.900 milliards de dollars dans ces sources d’énergie propres.

Un renard dans le poulailler

Un renard dans le poulailler

C’est officiel, François Fillon a été mis en examen : une situation tout à fait inédite dans la cinquième république ! Et cela ne semble pas émouvoir beaucoup le bonhomme, au vu de ses propos dans les médias ! Il le tourne même en plaisanterie ! Cet homme n’a vraiment aucune limite. Il y a quelques jours, j’ai participé à un voyage de groupe en Hongrie au cours duquel j’ai débattu de tout ça avec d’autres participants. Et je peux vous promettre que la discussion a été quelque peu… tumultueuse ! Nous ne partagions pas les mêmes convictions politiques, et nous avions donc pas mal de différends. Sur à peu près tout, pour être honnête. Cependant, nous étions tout de même d’accord pour dire que François Fillon est un exemple honteux pour la France. Même ceux qui ont décidé de voter pour lui sont découragés. Son seul maintien en tant que candidat est en soi affolant. Il s’obstine parce que selon lui, le pays va à vau-l’eau et il doit donc se sacrifier pour le sauver. Cependant, il ne faut pas se leurrer : c’est bien lui qui suscite le danger par le maintien de sa candidature ! Il a scindé son parti et a obligé les électeurs qui le soutenaient à se diviser en trois catégories : ceux qui lui vouent un soutien indéfectible (et un peu irrationnel, parfois), ceux qui se rabattent sur Macron, et ceux qui se rabattent carrément sur le FN. En somme, il a changé une élection où les LR étaient censés l’emporter haut la main une avenue pour Macron et le Front National ! Du grand art ! C’est si notoire que Fillon n’est plus en mesure de rallier la majorité que ça me dépasse qu’il  continue comme si de rien n’était. Comment les électeurs pourraient-ils élire un homme qui n’a fait que mentir ces deux derniers mois ? L’aveuglement de ce type est carrément sidérant. Ou alors, il ne s’agit pas d’aveuglement, justement, mais de calcul : devenir président est à ses yeux la seule manière d’échapper à la mise en examen. D’où cette volonté de tenir quoi qu’il arrive. Quitte à porter préjudice à 60 millions d’électeurs… Le bel exemple politique que voilà. Soit dit en passant, j’ai été séduit par ce voyage de groupe. Tenez, je vous mets en lien le site qui s’en charge, si vous voulez connaître les détails du programme. Pour en savoir plus, je vous recommande la lecture du site internet sur cette de voyage en Hongrie qui est très bien rédigé sur ce thème.

Dématérialiser la preuve numérique et sa gestion

Dématérialiser la preuve numérique et sa gestion

Alors que le numérique fait émerger et se multiplier de nouveaux types de preuves issues des smartphones, de la vidéoprotection, des objets ou des véhicules connectés, les règles procédurales imposent toujours de matérialiser la preuve numérique sur un support physique afin qu’elle soit traitée comme telle. Ce processus pourrait être optimisé par l’adoption d’un standard commun à tous les enquêteurs en matière de collecte et d’analyse des preuves numériques. Leur partage et leur archivage s’en trouveraient facilités. Police et justice gagneraient donc à s’interroger sur les solutions techniques qui permettraient précisément de traiter la preuve numérique dans son environnement originel, quitte à ce qu’elles imposent une révision de la procédure pénale. Compte tenu de leur abondance, une solution tout d’abord dédiée au traitement des fichiers vidéo (collecte, identification, gestion, partage, analyses avancées, …) pourrait être mise en œuvre. Conçue dès le départ comme une plate-forme ouverte, cette solution pourrait par la suite être étendue à d’autres formes de preuves numériques, ce qui permettrait de neutraliser les risques associés à une approche voulue immédiatement plus globale. La carte professionnelle pourra ici encore appuyer ce processus de numérisation, en permettant aux officiers de police judiciaire de signer numériquement leurs preuves comme ils le feraient avec la pose d’un scellé sur une preuve matérielle. Au final, un tel dispositif de gestion des preuves serait pour les enquêteurs une source de gain de temps, permettant une meilleure focalisation sur leur cœur de métier et les tâches à plus forte valeur ajoutée.

Un break à Dubai

Un break à Dubai

Si vous êtes du genre « Jamais sans ma fille », ce que je vais vous dire ici va probablement vous choquer. Dernièrement, j’ai en effet suivi un incentive à Dubai. Ce voyage est arrivé au bon moment, parce qu’après toute une saison pas facile niveau travail, mes collègues et moi commençions à sérieusement fatiguer. Ce déplacement nous a donc donné l’occasion de nous aérer la tête pour mieux repartir. En réalité, si mon entreprise n’avait pas proposé ce voyage, j’aurais sans doute fini par craquer. Je suis convaincu que le travail est une bénédiction pour l’homme. Mais je trouve également que, quelquefois, il faut aussi souffler un peu. Et la meilleure manière de s’évader, dans ces moments-là, reste encore de prendre l’avion afin de partir vers l’inconnu. C’est d’ailleurs assez curieux quand j’y pense, de voir comme mon opinion sur les incentives a changé avec les années. A mes débuts, j’étais persuadé que les voyages incentives étaient de simples déplacements professionnels dissimulés. Ce qui est un peu le cas, en un sens. Mais cela ne change rien au fait qu’il y a quand même moyen d’en profiter comme de véritables vacances. Ces voyages se font certes avec ses collègues et non en famille, mais c’est aussi une énorme chance, en définitive. Il y a effectivement pas mal d’activités qu’on peut difficilement envisager de faire, à partir du moment où l’on a des gosses. Et j’ai fini par réaliser que les voyages entre collègues étaient un bon moyen de vivre ce qu’on s’interdit de faire lorsqu’on part en vacances avec sa famille. Cela permet de relâcher la pression et de repartir du bon pied en famille, au final. J’adore la vie de famille, mais je crois que parfois, c’est agréable aussi de s’accorder un temps de repos. Cela permet de retrouver le sourire quand on rentre. Parce qu’on finit toujours par ne plus s’en apercevoir, qu’on mène une vie de rêve. On l’a tellement sous les yeux au quotidien qu’on finit par ne plus rien voir. Il est donc impératif de faire une pause de temps à autre afin de remettre les pieds sur terre. Voilà pourquoi cet incentive m’a fait un bien fou. Je l’ai apprécié tant pour la destination, son sens de l’organisation, que sa capacité à me rappeler la chance que j’ai d’avoir cette merveilleuse famille. D’ailleurs, je vous mets un lien vers le site de l’agence qui s’est chargée de cet incentive, si ça vous intéresse. Davantage d’information est disponible sur le site de l’organisateur cette expérience incentive à Dubai. Suivez le lien.

Le faux avocat

Le faux avocat

En fournissant de fausses fiches de paie à ses « clients » asiatiques pour l’obtention de titre de séjour, ce Britannique d’origine chinoise établi à Sèvres, a engrangé des sommes faramineuses.  Cette filière d’immigration clandestine asiatique a rapporté des centaines de milliers d’euros à son organisateur, et même, vraisemblablement, des sommes qui dépassent le million d’euros. Entamées il y a un an et demi, les investigations ont mis au jour un système organisé et efficace destiné à obtenir des titres de séjour grâce à des autorisations de travail. Le tout grâce à des dossiers bidon, nourris de fiches de salaire fictives. Un dénommé Wei Jei T., un Britannique d’origine chinoise de 37 ans, apparaît comme la tête de réseau. Installé à Sèvres en bordure de la forêt de Meudon, l’homme aux goûts de luxe, aimant à collectionner Jaguar, Ferrari et autres 4 x 4, fréquentant restaurants et boutiques de luxe, se faisait passer pour un avocat et travaillait donc avec une assistante. Cette dernière n’était autre que sa compagne. La combine qui leur a tant rapporté, entre 2012 et jusqu’à leur arrestation à l’automne 2016, est simple. A leurs compatriotes désireux d’obtenir un titre de séjour, ils fournissent les documents qui permettent la délivrance d’une autorisation de travail émanant de la Direccte. Il s’agit de la direction du travail dont on trouve une antenne départementale dans toutes les préfectures. Pour ce faire, il faut viser les secteurs professionnels dans lesquels la main-d’œuvre manque, comme la restauration, et présenter des bulletins de paie. Rien de plus simple pour Wei Jei et ses complices qui fabriquent de fausses fiches de salaire à l’en-tête de vraies sociétés. C’est l’ancienne gérante de l’une de ces entreprises, spécialisée dans le service à la personne, qui a donné l’alerte au printemps 2016 après avoir découvert une série d’embauches… fictives.